Dans le cadres des "Journées de la Francophonie" 2020, l'Institut français de Sousse vous propose pendant le mois de mars une très belle sélection de films autour de diverses thèmatiques : la jeunesse, la famille et l'engagement, qui se font à cette occasion les passeurs de la langue française.
Au programme :
Mercredi 11 mars - 15h
Un amour impossible de Catherine Corsini (2018 - 135' - public adulte)
d’après le roman de Christine Angot
À la fin des années 50 à Châteauroux, Rachel, modeste employée de bureau, rencontre Philippe, brillant jeune homme issu d’une famille bourgeoise. De cette liaison passionnelle mais brève naîtra une fille, Chantal. Philippe refuse de se marier et Rachel devra élever sa fille seule. Son seul combat : que Philippe reconnaisse son enfant et lui donne son nom.
Une bataille de plus de dix ans qui finira par briser sa vie et celle de sa fille.
Mercredi 18 mars - 16h
Continuer de Joachim Lafosse (2018 - 84' - à partir de 12 ans)
d’après le roman de Laurent Mauvignier
Sibylle, mère divorcée, ne supporte plus de voir son fils adolescent sombrer dans une vie violente et vide de sens. Elle va jouer leur va-tout en entraînant Samuel dans un long périple à travers le Kirghizistan. Avec deux chevaux pour seuls compagnons, mère et fils devront affronter un environnement naturel aussi splendide qu’hostile, ses dangers, son peuple… et surtout eux-mêmes !
Samedi 21 mars - 15h
Rémi sans famille d’Antoine Blossier (2018 - 109' - à partir de 6 ans)
d’après le roman de Hector Malot
À l’âge de 10 ans, Rémi, orphelin, est arraché à sa mère adoptive et confié au Signor Vitalis, un mystérieux musicien ambulant. À ses côtés, il va apprendre la rude vie de saltimbanque et à chanter pour gagner son pain. Accompagné du fidèle chien Capi et du petit singe Joli-Cœur, son long voyage à travers la France, fait de rencontres, d’amitié et d’entraide, le mènera au secret de ses origines.
Jeudi 26 mars - 15h
Edmond d’Alexis Michali (2019 - 113' - à partir de 12 ans)
d’après l’histoire d’Edmond Rostand et de sa pièce, Cyrano de Bergerac
Décembre 1897, Paris. Edmond Rostand n’a pas encore trente ans mais déjà deux enfants et beaucoup d’angoisses. Il n’a rien écrit depuis deux ans. En désespoir de cause, il propose au grand Constant Coquelin une pièce nouvelle, une comédie héroïque, en vers, pour les fêtes. Seul souci : elle n’est pas encore écrite. Faisant fi des caprices des actrices, des exigences de ses producteurs, de la jalousie de sa femme, des histoires de coeur de son meilleur ami et du manque d’enthousiasme de l’ensemble de son entourage, Edmond se met à écrire cette pièce à laquelle personne ne croit. Pour l’instant, il n’a que le titre : Cyrano de Bergerac.
