
L'Institut français de Tunisie a le plaisir d'accueillir sur scène le groupe Headcharger pour un concert inédit dans le cadre de sa tournée "Sway 2025", le vendredi 13 juin à 21h.
Trop rock pour le métal ?
Trop métal pour le rock ?
Headcharger ne se pose pas ce genre de questions… Leur musique oscille entre le stoner rock et le métal le plus heavy, mais à tout moment, peut basculer dans la fougue du grunge des années 90 ou dans le hardcore le plus rageur. Vous serez surpris par le groove et l’énergie qui opère dans ce savant mélange, distillé depuis maintenant 20 ans.
"Sway", le 8e album fraîchement sorti chez le Label At(h)ome, en est la preuve irréfutable. Et ce n’est pas tout : Headcharger, c’est aussi un groupe taillé pour le live…
Show explosif en prévision et à ne manquer sous aucun prétexte !
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Headcharger
Relâcher la pression, pourquoi ? Headcharger souffle ses vingt bougies avec vigueur comme on attise les braises d’un feu prêt à repartir de plus belle. Trois ans après "Rise from the Ashes", album célébrant le retour en force d’un groupe qui n’a jamais rétrogradé en seconde et heureux d’accueillir en son sein deux nouveaux membres prêts à en découdre, voici venir l’heure de "Sway", huitième mandale discographique assénée par le combo normand. Un disque qui sent à la fois l’urgence et l’envie d’en découdre, comme si la tournée qui avait précédé les sessions studios n’avait pas suffi à évacuer tout ce que le groupe avait à dire en faisant brûler les planches à chaque concert.
"Sway", c’est à la fois un disque direct sur lequel la voix de Sébastien Pierre renoue avec son côté rauque et écorché et le résultat d’un travail collectif encore plus poussé que pour son prédécesseur, Antoine Cadot (batterie) et David Vallée (guitare et seconde voix) ayant cette fois eu le temps de prendre part au processus de composition dès le début en compagnie de David Rocha (guitare) et Romain Neveu (basse). Après sept albums ayant revisité avec la même réussite le hard rock, le hardcore, le stoner et le meilleur du rock indé des années 90, Headcharger assume entièrement un statut qui aura perturbé plus d’un poseur d’étiquette : trop métal pour les rockeurs, trop rock pour les métalleux. Et après ? C’est aussi ce qui rend ce groupe si unique.